L’exercice verra la participation, en plus du pays hôte et du Royaume, des forces armées aériennes des États-Unis, de Grande-Bretagne, de France, d’Espagne, d’Australie, d’Inde, de Corée du Sud, du Bahreïn et du Koweït, liste le forum spécialisé FAR-Maroc sur sa page Facebook.
Le terrain de déploiement sera la plus grande base aérienne du pays, sur laquelle sont stationnés des appareils des forces aériennes des Émirats Arabes Unis, des États-Unis et de la France, indique-t-on.
L’objectif de cet exercice aérien multilatéral est de promouvoir et perfectionner l’interopérabilité des différentes forces aériennes en présence. Ainsi, les Forces Armées Royales (FAR) poursuivent le perfectionnement de leurs capacités sur le terrain à travers des exercices communs avec les pays partenaires.
Par ailleurs, le Maroc continue de renforcer sa force aérienne grâce à de nouvelles acquisitions. Selon le think tank marocain Moroccan Institute for Policy Analysis (MIPA), le Royaume possède 23 avions de chasse F- 16 qui opèrent actuellement et devraient être mis à niveau pour une configuration F-16V. L’année dernière, le département d’État américain a approuvé la vente de 25 avions de chasse F-16C/D Block 72. Une acquisition de moteurs d’installation F-100 auprès de l’entreprise Raytheon Technologies est aussi en cours. En janvier dernier, le Maroc a réceptionné le système antimissile Barak MX, fabriqué par la société Israel Aerospace Industries (IAI). Des avions Mirage 2000-9 devraient être aussi livrés au Maroc des Emirats Arabes Unis.
En plus d’accroître ses capacités aériennes, le Maroc entend renforcer les activités de maintenance, de réparation et de production d’avions, notamment de drones, pour réduire sa dépendance aux importations et éventuellement exporter. Les dépenses militaires marocaines ont atteint, en 2020 et en 2021, une proportion jamais atteinte auparavant (4,3 % par rapport au PIB), note le rapport du think tank.
Le terrain de déploiement sera la plus grande base aérienne du pays, sur laquelle sont stationnés des appareils des forces aériennes des Émirats Arabes Unis, des États-Unis et de la France, indique-t-on.
L’objectif de cet exercice aérien multilatéral est de promouvoir et perfectionner l’interopérabilité des différentes forces aériennes en présence. Ainsi, les Forces Armées Royales (FAR) poursuivent le perfectionnement de leurs capacités sur le terrain à travers des exercices communs avec les pays partenaires.
Par ailleurs, le Maroc continue de renforcer sa force aérienne grâce à de nouvelles acquisitions. Selon le think tank marocain Moroccan Institute for Policy Analysis (MIPA), le Royaume possède 23 avions de chasse F- 16 qui opèrent actuellement et devraient être mis à niveau pour une configuration F-16V. L’année dernière, le département d’État américain a approuvé la vente de 25 avions de chasse F-16C/D Block 72. Une acquisition de moteurs d’installation F-100 auprès de l’entreprise Raytheon Technologies est aussi en cours. En janvier dernier, le Maroc a réceptionné le système antimissile Barak MX, fabriqué par la société Israel Aerospace Industries (IAI). Des avions Mirage 2000-9 devraient être aussi livrés au Maroc des Emirats Arabes Unis.
En plus d’accroître ses capacités aériennes, le Maroc entend renforcer les activités de maintenance, de réparation et de production d’avions, notamment de drones, pour réduire sa dépendance aux importations et éventuellement exporter. Les dépenses militaires marocaines ont atteint, en 2020 et en 2021, une proportion jamais atteinte auparavant (4,3 % par rapport au PIB), note le rapport du think tank.
